Si j'étais le plus gros obstacle?

Toujours la même envie, toujours les mêmes obstacles. Ou si j'étais moi-même partiellement un obstacle? Je m'explique. J'évite les relations. Comme la peste, qu'on dirait. Ça craint. Un gentil garçon - doctorat en poche (ce qui n'est pas encore mon cas!), emploi, intérêts communs, excellent cuisinier, etc. - m'a dit récemment qu'il m'aimait bien. J'ai bien-sûr pris la fuite. Hop! Allez! On file! C'est que d'abord, il est peut-être "trop" bien: c'est trop beau pour être vrai. Et que... aussi... c'est superficiel mais j'assume: il ne m'attire pas. En plus, il avait tendance à faire un brin de chantage, pour être constamment avec moi (même que depuis que je lui ai dit que je n'étais pas intéressée par une relation amoureuse, monsieur a acheté un billet d'avion pour un autre pays d'Europe et menace de ne plus revenir). Quand même. Ok, il n'était donc pas parfait. Plutôt manipulateur. Peut-être est-ce l'instinct (mais qu'est-ce que l'instinct? c'est cliché, quand même... mais passons) qui ma sauvée. Mais en attendant, je fais quoi pour combler mon désir de bébé?